Brésil, le 26 Août, 2016

Son Excellence

Secrétaire général de l'ONU Sr.Ban Ki-moon

ONU - Organisation des Nations Unies

Monsieur le Secrétaire Général,

Cette lettre fait référence à la présumée “violations des droits” perpétrées par le juge fédéral Sergio Moro soulevée par l’ex-président Luiz Inacio Lula da Silva à travers d’une lettre de plaint à l'ONU. Par souci de vérité et pour la défense de l'honneur de notre pays, nous, les Brésiliens, présentons notre désapprobation de cette malheureuse initiative de Mr. Lula, en raison des faits énumérés ci-dessous:

1. Mr. Lula a été président du Brésil pour deux mandats consécutifs de 2003 à 2010, une période que est marquée par des grands scandales de corruption.
2. La gestion de Lula avais l'intention déclarée de mettre en place un plan en faveur d'un projet de pouvoir et probablement avoir le contrôle politique de l'Etat brésilien. Pour atteindre cet objectif, il a mis en place des milliers de membres de sa coalition gouvernementale, y compris les indications des ministres à la Cour suprême (STF) et dans le Tribunal électoral supérieur (TSE) des persones de sa confiance. Son successeur, Mme Rousseff – est risquez de perdre son mandat, et peut-être démis de ses fonctions par le congrès, car elle est accusée de l'irresponsabilité budgétaire. Ces crimes ont été réalisé dans l'objectif de poursuivre avec le projet de pouvoir, avec la meme politique, assurant ainsi un certain nombre d'avantages pour leur parti (PT). Ce projet de pouvoir se connecte à la ligne préconisée par le “Foro de Sao Paulo”, une organisme supranationale dont l'objectif principal est de mettre en œuvre le socialisme en Amérique latine. Lula, est l'un des fondateurs de ce Forum.
3. Ce projet autoritaire et antidémocratique a commencé à être démantelé par l'action ferme de la Justice du Paraná, conduit par le juge Sergio Moro, avec le soutien du Ministère Public Fédéral (MPF) et la Police Fédérale. La compétence et la détermination de ce magistrat a mis en lumière un certain nombre des cas de corruption impliquant des grandes entreprises du pays, ainsi que quelque politiciens, des fonctionnaires publiques et des hommes d'affaires dans l’opération appelé “Lava-Jato”.
4. Les initiatives populistes de l'ancien président Lula a destinées à: Attirer un énorme nombre des voix électorales e obtenir des “commissions” pour le parti PT. Un type de crédit destiné à des personnes âgées appelé “crédit consigné” a été l'une de ces initiatives. La manipulation du marché économique et la stimulation de la consummation effrénée de produits de grande consummation était une autre action nuisible. En bref, la mauvaise gestion économique et la corruption endémique a fait la plongée de notre pays dans une récession sans précédent dans l’histoire, qui s’achevé dans plus de 12 millions de chômeurs, des centaines de milliers d'entreprises en faillite, la fuite des capitaux et d'investissement ainsi que la croissance exponentielle de la dette publique intérieure, qui dépasse maintenant 70% du PIB.
5. En cherchant la réélection à tout prix - déjà installé en pleine crise, Dilma a nié, avoir dans sa campagne des supposte pots-de-vin et des commissions occultes, en grande partie financé par les frais de trésorerie. Elle a été élue avec une petite marge de votes (3%), grâce à un système soupçonné que se utilizé des machines a voter, exploités par Smartmatic International, une société qui a déjà été soupçonné par fraude électorale dans plusieurs pays, dont les États-Unis et Philippines. D'autre part, nous voulons précisé que est faux arguments sur le processus de démis de fonctions par le congrès de Mme. Dilma. Elle se plaint d’un "coup d'Etat parlementaire qu'elle prétend avoir subi et se plaint ancore une persécution politique. Tous les accusés sont garantis leur droit à la défense, dans le strict respect de la loi.
6. Tous ces faits montre que l'ensemble des actions de PT le caractérise comme une organisation criminelle à la recherche du contrôle de l'administration publique, pour prendre possession des institutions, subvertir l'ordre constitutionnel et mettre en œuvre leur projet totalitaire de l'État, comme est arrivé avec la Venezuela sous l'égide des présidents bolivarianists Hugo Chavez et Nicolas Maduro.
7. Sur Mr. Lula, se pose de nombreuses allégations par rapport sa participation directe dans la plupart des transactions entre les entreprises et l'État brésilien, y compris sa récente inclusion en tant que accusé a couse de L'entrave à l'exercice de la justice. C’est pour cette raison que l'ancien président, se sentant de plus en plus acculé, il fait usage des stratagems comme la plainte destinée à Votre Excellence, dans lequel il déshonore, dénigre et raille les institutions brésiliennes, qui ne font pas que suivre strictement les exigences de la loi.
8. Il y a beaucoup plus à signaler, Monsieur le Secrétaire, mais nous allons respecter votre temps. Nous pouvons vous assurer que le ministère de la Justice agit avec correction et, très probablement, va condamner Lula a prison et tout ceux qui lui accompagne.

Cette lettre est ouvert et signé par de brésilien qui condamnant des manifestations de rues et protests, nous nous sentons gêné, honté et indignés par l'attitude de M. Lula et son parti. Les mouvements et groupes signataires de cette lettre ont été protagonistes dans l'organisation des manifestations qui a réunit plus de six millions de personnes dans les rues du Bresil, contre la corruption, Lula, les partis corrompues et appelant à la mise en accusation de Mme. Dilma.

En conséquence, l'attitude de M. Lula mérite notre condamnation véhémente, ici, le Brésil dispose d'institutions solides, son peuple défend la démocratie, rejette avec fermeté la corruption, l'abus de pouvoir ou toute forme de totalitarisme.

Pour toutes ces raisons, nous, les Brésiliens n'acceptons aucune ingérence étrangère dans nos procédures judiciaires, car elles sont menées dans le strict respect de la loi.

Nous vous remercions pour votre l'attention. Mouvements signature: